CIRQUE DU SOLEIL
Nous avons vu KOOZÅ dernier spectacle du Cirque du Soleil. C’est avec une certaine appréhension que nous y allions, car on annonçait un retour au cirque dit plus traditionnel. Dès le début, nous avons été enthousiasmés. Le "show" a été éblouissant. En effet, ce fut magnifique, à couper le souffle, fantastique, superbe, enjoué, drôle, dangereux, époustouflant, varié, beau, coloré, extraordinaire, animé, hallucinant, épatant, désopilant, colossal, inusité, merveilleux, à tout casser, remarquable (c'est faible !), unique, mirobolant etc.
Tous les numéros ont été exécutés à la perfection. Les bouffons étaient des lurons de première classe. Même leurs appels à la participation de spectateurs étaient marqués d’originalité. Un duo uni cycle nous a donné une magnifique prestation qui relève d’une adresse et d’une force acquises au prix de milliers d’heure de pratique. Et que dire du jongleur ? Pas une erreur. Une concentration presque surhumaine.
Certains numéros dans lesquels le danger était palpable ont évidemment capté l’attention d’une manière prévisible. Les artistes du fil de fer ont eu leur part des Oh! et des Ah! surtout avec leur numéro comportant deux bicyclettes avec un équilibriste assis sur une chaise le tout supporté par une tige reposant sur les épaules des deux cyclistes. Étrange que la toile de sécurité n’aie été apportée que pour recevoir… la chaise !
Les deux artistes de la roue de la mort ont suscité l’admiration de la foule tant par la vitesse de leur exécution que par leurs sauts « dans le vide » au moment où l’une des roues était à son zénith et que l’artiste courait à toute vitesse se retrouvant dans un vide de plus en plus grand alors que la roue commençait sa descente à toute allure. Lors du « levé du rideau » (en fait il n’y avait pas de rideau !) ces deux comparses ont reçu une ovation qui leur signalait l’appréciation des spectateurs.
Il y eu aussi cet asiatique d’une grande force qui a fait l’ascension d’une colonne de chaises pour se tenir en équilibre dans des poses précaires et dangereuses les unes plus que les autres. Lui aussi a eu sa récolte d’applaudissements.
Les athlètes de la planche sautoir ont fait montre d’un savoir qui défit la peur. Les petites contorsionnistes semblaient avoir un corps en caoutchouc. Nombre d’autres scènes comportant plusieurs personnages tantôt vêtus à la chinoise (?) ou en squelettes, une chasse au « pickpocket » par des policiers, la surprise des rats, sans oublier la disparition et l’apparition d’une des spectatrices, tout s’enchaînait avec entrain pour notre plus grand plaisir.
Le spectacle a débuté par un « innocent » qui tente sans succès de faire voler son cerf-volant. Tout au long du spectacle il est témoin « innocemment » de plusieurs prestations. La boucle se referme avec ce même personnage qui voit son cerf-volant glisser sur les pentes du vent.
Nous avons plus que "bien aimé" notre soirée. Deux heures de pure joie.
Nous avons vu KOOZÅ dernier spectacle du Cirque du Soleil. C’est avec une certaine appréhension que nous y allions, car on annonçait un retour au cirque dit plus traditionnel. Dès le début, nous avons été enthousiasmés. Le "show" a été éblouissant. En effet, ce fut magnifique, à couper le souffle, fantastique, superbe, enjoué, drôle, dangereux, époustouflant, varié, beau, coloré, extraordinaire, animé, hallucinant, épatant, désopilant, colossal, inusité, merveilleux, à tout casser, remarquable (c'est faible !), unique, mirobolant etc.
Tous les numéros ont été exécutés à la perfection. Les bouffons étaient des lurons de première classe. Même leurs appels à la participation de spectateurs étaient marqués d’originalité. Un duo uni cycle nous a donné une magnifique prestation qui relève d’une adresse et d’une force acquises au prix de milliers d’heure de pratique. Et que dire du jongleur ? Pas une erreur. Une concentration presque surhumaine.
Certains numéros dans lesquels le danger était palpable ont évidemment capté l’attention d’une manière prévisible. Les artistes du fil de fer ont eu leur part des Oh! et des Ah! surtout avec leur numéro comportant deux bicyclettes avec un équilibriste assis sur une chaise le tout supporté par une tige reposant sur les épaules des deux cyclistes. Étrange que la toile de sécurité n’aie été apportée que pour recevoir… la chaise !
Les deux artistes de la roue de la mort ont suscité l’admiration de la foule tant par la vitesse de leur exécution que par leurs sauts « dans le vide » au moment où l’une des roues était à son zénith et que l’artiste courait à toute vitesse se retrouvant dans un vide de plus en plus grand alors que la roue commençait sa descente à toute allure. Lors du « levé du rideau » (en fait il n’y avait pas de rideau !) ces deux comparses ont reçu une ovation qui leur signalait l’appréciation des spectateurs.
Il y eu aussi cet asiatique d’une grande force qui a fait l’ascension d’une colonne de chaises pour se tenir en équilibre dans des poses précaires et dangereuses les unes plus que les autres. Lui aussi a eu sa récolte d’applaudissements.
Les athlètes de la planche sautoir ont fait montre d’un savoir qui défit la peur. Les petites contorsionnistes semblaient avoir un corps en caoutchouc. Nombre d’autres scènes comportant plusieurs personnages tantôt vêtus à la chinoise (?) ou en squelettes, une chasse au « pickpocket » par des policiers, la surprise des rats, sans oublier la disparition et l’apparition d’une des spectatrices, tout s’enchaînait avec entrain pour notre plus grand plaisir.
Le spectacle a débuté par un « innocent » qui tente sans succès de faire voler son cerf-volant. Tout au long du spectacle il est témoin « innocemment » de plusieurs prestations. La boucle se referme avec ce même personnage qui voit son cerf-volant glisser sur les pentes du vent.
Nous avons plus que "bien aimé" notre soirée. Deux heures de pure joie.