Le terme « Place des arts » ne serait pas grammaticalement correct. Ce qui n’empêche pas les activités qui s’y déroulent. Jean Drapeau fut l’initiateur de ce complexe culturel. C’est lui qui, en 1955, réunit ceux qui devaient donner naissance au projet lequel devait coûter environ 12 millions à l’origine, mais dont le montant a plus que doublé comme on peut le deviner… Les expropriations en seraient la cause principale. En 1961, on commença les travaux qui se sont terminés en 63 par un concert de l’OSM dirigé par deux chefs célèbres, Wilfrid Pelletier et Zubin Mehta. La grande salle fut renommée Wilfrid Pelletier plus tard. Elle peut accueillir deux mille neuf cent quatre-vingt-deux spectateurs et offrir des concerts, des opéras, des ballets, comédies musicales, spectacles de variétés. On y a même installé une patinoire pour présenter le Lac des Cygnes.
À l’origine, l’ensemble comprenait quatre salles. Une cinquième salle, appelée d’ailleurs « Cinquième salle » fut inaugurée en 1992, lors de l’érection du Musée d’Art contemporain tout à côté. C’est une salle polyvalente qui peut se transformer facilement pour des spectacles d’allure plus moderne. C’est à l’occasion de l’Expo 67 que furent ajoutés les théâtres Maisonneuve et Jean-Duceppe ainsi que le Café de la Place.
L’endroit est devenu un centre culturel d’importance, tant à l’intérieur de ses murs que sur la terrasse et les rues adjacentes. La série Sons et Brioches, les Mélodines, le Festival international de Jazz avec ses nombreux concerts, n’en sont que quelques manifestations. Il faut ajouter le Festival Montréal en Lumière, le Studio littéraire où les mots sont à l’honneur, le Festival des Films du Monde, le Festival du Monde Arabe de Montréal, le Festival Juste pour Rire, sans oublier les Francofolies. Le café-bistro Van Houtte y a fait peau neuve dernièrement.
Si les plus grands noms de la musique, du théâtre ou de la danse ont été inscrits sur ses affiches publicitaires, son histoire a aussi été jalonnée par quelques problèmes. Le syndicat des artistes, les techniciens, une mésentente en un chef d’orchestre et les musiciens ont fait tour à tour la manchette. Ce qui n’empêche pas les Montréalais et tous les amateurs de musique d’être fiers de fréquenter un centre culturel d’une si grande qualité.
À l’origine, l’ensemble comprenait quatre salles. Une cinquième salle, appelée d’ailleurs « Cinquième salle » fut inaugurée en 1992, lors de l’érection du Musée d’Art contemporain tout à côté. C’est une salle polyvalente qui peut se transformer facilement pour des spectacles d’allure plus moderne. C’est à l’occasion de l’Expo 67 que furent ajoutés les théâtres Maisonneuve et Jean-Duceppe ainsi que le Café de la Place.
L’endroit est devenu un centre culturel d’importance, tant à l’intérieur de ses murs que sur la terrasse et les rues adjacentes. La série Sons et Brioches, les Mélodines, le Festival international de Jazz avec ses nombreux concerts, n’en sont que quelques manifestations. Il faut ajouter le Festival Montréal en Lumière, le Studio littéraire où les mots sont à l’honneur, le Festival des Films du Monde, le Festival du Monde Arabe de Montréal, le Festival Juste pour Rire, sans oublier les Francofolies. Le café-bistro Van Houtte y a fait peau neuve dernièrement.
Si les plus grands noms de la musique, du théâtre ou de la danse ont été inscrits sur ses affiches publicitaires, son histoire a aussi été jalonnée par quelques problèmes. Le syndicat des artistes, les techniciens, une mésentente en un chef d’orchestre et les musiciens ont fait tour à tour la manchette. Ce qui n’empêche pas les Montréalais et tous les amateurs de musique d’être fiers de fréquenter un centre culturel d’une si grande qualité.